Ce parcellaire est un document très précieux, c' est le plus ancien que possèdent les archives municipales de la commune. C'est un très gros volume recouvert d'une reliure de cuir fauve. Il a demandé une tâche colossale s'étendant sur presque 40 années. Commencé vers 1650, alors que Mr De Vachon est seigneur de la Murette, il ne fut achevé qu' en 1690.

Cette publication est la preuve de l'importance de La Murette comme lieu de délibération pour une assemblée composée de connétables, avocats de la Cour, Conseillers du "roy" .

Il apporte une somme de détails non négligeables portant sur les biens immobiliers roturiers ou nobles, (maisons, terres, bois etc..), les propriétaires des parcelles, les professions, les noms de lieux, les mesures de l' époque (traitées dans le précédent chapitre), les voies rurales etc...

Il regroupe les parcelles, non seulement de la Murette, mais de tout le mandement avec les communes de Réaumont, Saint Cassin (Saint Cassien) et Buis (actuellement Saint Blaise du Buis).

A quoi servait ce document ?

Tout d'abord, il permettait de savoir à qui appartenait les biens et d'en connaître les limites, les tenants et aboutissants et les superficies (cf chapitre 3 pour les mesures employées). Aucun plan n'accompagnait les descriptions et le bornage n'était sans doute pas réalisé.

Ensuite, ce parcellaire permettait de connaître la valeur (on dirait maintenant locative) estimée de chaque parcelle afin de permettre aux collecteurs d'impôts de réclamer la "Taille" et les autres charges. Dans l'ancien droit, la Taille était un impôt direct perçu par les seigneurs sur leurs sujets roturiers et leurs serfs soit d'après l'ensemble de leur revenu ou l'importance de leur tenure. Le taux en était illimité. La Taille royale est primitivement extraordinaire et levée seulement par Philippe le bel (1268- 1314), en vue des nécessités de la guerre. Elle devint permanente après la guerre de cent ans.
Elle fonctionnait comme un impôt de répartition et le roi en fixait chaque année le montant qui était réparti entre toutes les paroisses puis à chaque contribuable.

Il a fallu près de 40 ans pour réaliser ce parcellaire.
Ce ne fut pas une mince affaire que de le faire homologuer. Des litiges furent soulevés par les habitants de Réaumont qui s'opposaient à cette homologation prétextant que la paroisse de Saint Cassien s'était appropriée des terres leur appartenant. Le litige aurait pu s'étendre aussi sur la paroisse de la Murette comme le laissera entendre Michel Faure alors notaire royal à la Murette.

Un habitant de Réaumont, Maître Gaspard Ugnon avocat en la cour, dans un document qui nous est parvenu, et au nom d'autres qui adhèrent à ses vues rapporte ceci :
"......Ledit sieur Ugnon et au nom que dessus, il n'y a personne qui n'est plus d'intérêt que lui à ce que le nouveau parcellaire soit mis en lumière, que la déclaration par lui et ses adhérents faite, justifie que leurs intentions n'est que d'en accélérer l'homologation. ils déclarent si lesdit (les paroissiens) de Saint Cassien veulent procéder au règlement des limites, ils sont prêts d'y procéder dès demain et les jours suivants sans discontinuation et requièrent qu'il ne soit nullement parlé de paroisses dans les confins des fonds qui séparent les uns des autres pour confins..."

Ils demandent aussi que dans les limites proposées des terrains, le nom des paroisses ne soit pas cité en temps que confins. Il faut dire qu'à cette époque les limites entre chaque paroisse étaient très aléatoires et n'étaient pas déterminées de façon très rigoureuse. Il faudra attendre beaucoup plus tard lors de la formation des communes pour faire apparaître des frontières précisément délimitées.

"..... Et en ce qui concerne la paroisse de Boys et celle de la Murette ledit sieur Ugnon et ses adhérents de la paroisse leur font la même déclaration et requièrent qu'ils aient à y répondre. Et au surplus en ce qui concerne les fonds des particuliers aboutissant à la commune de Boys qui les ont agrandis par des défrichements..... Le sieur Ugnon... requiert à ce qu'il soit procédé à la mensuration de ces fonds suivant le contenu de l'ancien parcellaire pour être le surplus arrenté au profit de la communauté. Ce qui se peut faire dès demain et les limites plantées.... Et a signé les sieurs Ugnon et Moret. Laurent Rey, Antoine Gallet et autres nommés à la paroisse de Boys ont adhéré au susdit comparant et n' ont signés pour ne savoir, de ce enquis." A cette lecture nous pouvons déduire qu'un parcellaire plus ancien existait dans le mandement mais que malheureusement nous ne possédons pas et que celui qui se mettait en place était une mise à jour. Nous pouvons aussi pouvoir dire que de nouveaux terrains avaient été défrichés et avaient sans doute été accaparés par les "essarteurs" (défricheurs). Certains habitants de Buis s'étaient aussi ralliés à cette réquisition. En outre ils demandaient que ces terrains soit arrentés, c'est à dire loués au profit de la communauté.

Michel Faure notaire de la Murette au nom des propriétaires de la Murette répond ceci :
" A aussi comparu Me Michel Faure notaire royal de la Murette, lequel tant en son nom que de ses adhérents de la paroisse de la Murette, dit que la séparation de la paroisse de Boys et celle de la Murette a été faite par le parcellaire dont il s'agit, par le moyen des indicateurs des paroisses."

Les indicateurs sont des gens qui connaissent bien le territoire et qui ont procédé à la mise en place des limites en se conformant à ce qui était en usage depuis des "temps immémorés" comme il est écrit dans le document et qu'il n' est pas nécessaire de revenir sur les lieux pour modifier ce qui y a été fait et ainsi homologuer le parcellaire. Les "indicateurs", personnes honnêtes et solvables, qui devaient bien connaître les possibilités des habitants, étaient nommés en Assemblée générale, lorsque les consuls recevaient le montant de la capitation. La capitation était un impôt réparti sur les capacités financières de chacun . Il frappait surtout les commerçants et les bourgeois.

"....ainsi on n'a pas raison de se plaindre, restant aucunement nécessaire de faire aucun accès de lieu pour ce sujet. Cependant il n'est pas juste que ledit parcellaire demeure sans effet et d'ailleurs qu'il n'est pas nécessaire non plus que ledit sieur Simon (le responsable de la mise en oeuvre du parcellaire) séjourne en ce pays pour raison de ce que dessus, attendu qu'il n'est ici que pour avoir la décharge du travail qu'il a fait dudit parcellaire à la forme de son prix fait, ............et à signé ainsi à l'original Faure, Jayet, Perrin."

Ce à quoi le sieur Ugnon et ses adhérents répliquent à leur tour :

"Qu'il n'y a aucune séparation faite et qu'elle ne peut pas avoir été faite sans leur participation et sans leurs indicateurs, par ceux de la Murette ; que les indicateurs ne font pas apparoir (ressortir avec évidence) aucun titre, ni aucun droit. "

ils continuent en disant que s'il y a erreur elle doit être corrigée ou alors "laisser les choses en l'état qu'elles étaient par le vieux parcellaire sans dénomination d'aucune paroisse. Et en ce qui concerne les fonds usurpés sur ladite communauté par le défrichement, ils ne veulent pas convenir au sieur Simon qui a été proposé ci-dessus, ils protestent à défaut de ces dépens, dommages qui pourraient être causés par les retardements."
ont signé Ugnon et Mouret"

Ils n'acceptent pas les propositions du sieur Simon le confectionneur du parcellaire et ne veulent pas être tenus responsables d'un retard éventuel de l'homologation. Cependant la présentation du document va être effectuée.

"Le Dimanche 5 février 1690 au lieu accoutumé de la Murette, pour y tenir assemblée par devant Nous, Pierre Allibert châtelain du mandement de Réaumont où étaient assemblés Mr Claude Gillet conseiller du Roy en l'élection de Grésivaudan, Sieur Pierre Paris de Treffonds, Mr Pierre Joseph Ugnon avocat en la cour, M° Michel Faure avocat, sieur Jean Guigues Moret, Honnête Claude Perrin- Molliet, .. (suivent quantité de noms que l'on retrouvera plus tard) a comparu Claude Demay l'un des consuls modernes de ladite communauté qui a proposé aux sus assemblés qu'ayant été procédé à la mensuration des fonds du mandement par Alexandre Simon à l'indication des indicateurs nommés par ladite communauté ...que l'on limiterait les 4 paroisses les unes des autres."
"Il s'est rencontré que les habitants de Réaumont se sont plaints que celle de Saint Cassien a anticipé sur celle de Réaumont de plus de 300 sétérées tant bois, prés que terres. Les sieurs avocat Pierre Ugnon, Paris de Treffonds, Thomas Moret et Nous Châtelain ayant fait accès sur les lieux avaient remarqué que lesdits de Saint Cassien n'avaient pas suivi ce qui avait été demeuré convenant. Lorsque le seigneur président de Saint Jullin se transporta sur les lieux avec Mr Claude Gillet, Sieur Pierre Paris Treffons, Izac Crozet et Nous Châtelain pour leur greffier, les terriers furent portés pour trouver le moyen de limiter la paroisse de Saint Cassien avec celle de Réaumont. Après avoir vu les reconnaissances, il aurait été trouvé à propos de prendre la paroisse depuis la croix du sentier de Chassagne...... (sont ensuite énoncées les limites entre les deux paroisses) et qu'on remette les terrains contestés dans leur paroisse de Réaumont."

Les habitants du mandement de Réaumont furent assignés pour délibérer du déduit effectué sur la commune de Saint Cassien et aussi pour adopter les limites avec celles de Boys et La Murette pour obéir aux contestations qui pourraient naître à l'avenir. Mais on va le voir les paroissiens de Saint Cassien n'étaient pas satisfaits.

"Ensuite a comparu M° Claude Gillet Conseiller du Roy, l'un des paroissiens dudit Saint Cassien tant en son nom que des autres paroissiens qui a dit qu'il ne peut convenir de l'anticipation proposée, non plus que de la prétendue vérification faite en la présence du président Saint Jullin qui demeure imparfaite faute d'avoir trouvé des limites certaines pour la séparation, que si celles de Réaumont dit non, elle en doit demeurer aux termes que les paroisses ont toujours été, suivre l'ancien usage qui a été établi sur des titres incontestables soit par testaments ou anciens rôles de cotisations en paroisse ou en produire des meilleurs et non pas vouloir entreprendre une procédure for dispendieuse laquelle ne peut être faite sans appeler les paroissiens dudit Saint Cassien qui ne sont point sujet à la taillabilité de Réaumont.

Les propriétaires de Saint Cassien comme nous le voyons n'acceptèrent pas les délimitations proposées. Ils demandaient à s'en tenir aux limites de l'ancien parcellaire et voulaient éviter toute procédure qui serait fort coûteuse. Et il continue :

"Aucun retranché, ni limitation ne doivent être faits, pour ses intérêts et ceux de ses adhérents, et qu'ils laissent lesdits de Réaumont à faire à leur frais telles vérifications et limitations qu'ils jugeront à propos, offrant en son particulier d'y paraître tous les soirs qu'ils le requerront sans faire proteste de la nulloité de tout ce qui sera fait."

Il laisse libre les habitants de Réaumont de faire à leur frais toutes vérifications. Ensuite il dit même de se pourvoir pour obliger les paroissiens de Réaumont à leur rembourser les sommes auxquelles "arrivent les côtes de plusieurs des paroissiens de Saint-Cassien, desquels ils ont exigées et employés à leur usage particulier au préjudice desdits de Saint Cassien à qui elles appartenaient et au surplus soutient que cette prétendue limitation ne peut retarder l'homologation et l'effet du nouveau parcellaire sur lequel on doit cotiser les deniers royaux et autres charges dues par le Tiers- état. Il y a eu de grandes sommes cotisées et exigées qui n' ont pu être diverties et qui n' auraient pas eu lieu si ledit parcellaire avait été fait.
ont signé à l'original Gillet et Paris de Tréfonds. Georges Buison, Jean Essartié et autres de Saint Cassien ont adhéré au comparant et n'ont point signé pour ne savoir.

Il est vrai qu' à cette époque peut de gens savent lire et écrire. On pouvait cependant signer avec une croix.

L'avocat Gaspard Ugnon a aussi comparu ne demandant que l'exécution des précédentes délibérations. Il n'acceptait toujours pas les mesures qui avaient été faites car les habitants de Saint Cassien n'avaient pu fournir aucun titre. Il fait cependant état d'une procédure faite entre le Seigneur Comte de Pina et sieur Etienne Paris dont nous n'avons pas toute la teneur mais qui dit que " si les paroissiens de Saint Cassien veulent nommer des personnes pour régler amiablement sur le fait des limites, ils (ceux de réaumont) sont prêts d'en convenir et nommé de leur part de gré à gré".

Sinon il fallait utiliser l'ancien parcellaire comme il a déjà été dit et suivre l'ancien usage. Il est rapporté aussi dans le procès verbal qu'il était difficile de réduire le territoire de Réaumont où était l'église principale, celle de Saint Cassien n'étant qu'une église de secours et qu'il fallait rayer dans le parcellaire le nom des paroisses et ne s'en tenir qu' au mandement.

Le sieur Gillet a dit ensuite "que l'opposition formée à l'homologation du parcellaire n'est fait que par les particuliers de Réaumont qui ne peuvent empêcher sous prétexte de la prétendue séparation et attendu qu'ils ne sont pas le 1/4 du mandement. Et pour leur faire cesser tous prétexte, il consent que lorsqu'il s'agira de cotiser pour les paroisses en particulier que l'ancien usage soit observé." Et qu'on ne pouvait plus retarder l' homologation.

Une nouvelle assemblée eut lieu l' année suivante.

"Du Dimanche 18 novembre 1691, au lieu de la Murette, mandement de Réaumont par devant nous Pierre Allibert châtelain du lieu en son mandement où étaient assemblés Mrs Gillet conseiller du roy, Sieur Blaise Arnaud-Lacombe, Mr François ........ procureur, Mr Michel Faure notaire, Izac Crozet, Claude Molliet, sieur Michel Perrin, Antoine Chavaz, sieur Thomas Moret fils de Guigues, jean Guinat, Claude Quatre..... suivent ainsi la plupart de propriétaires du mandement..... ont comparus honnête François Guillet et Félix Gillet-Daubin consuls modernes du mandement. (les consuls étaient des gens désignés par tous pour les représenter, c'était un peu les conseillers municipaux de l'époque) Georges Ginet et Georges Termoz syndics exacteurs des côtes des forains du mandement ".
Il a été proposé par les consuls qu'il y a longtemps qu'on aurait proposé de faire homologuer le parcellaire nouveau mais que Maître Gaspard Ugnon avocat en la cour y aurait formé opposition tant en son nom que par ses adhérents habitant de Réaumont .....fondé sur ce que ceux de Saint cassien ont fait mettre dans leur paroisse plus de 300 sétérées qui doivent être sur la paroisse de Réaumont. Il avait pour cet effet requis lesdit de Saint Cassien de vouloir régler pour les limites comme aussi ceux des paroisses de Voyes et de la Murette et sur diverses contestations de part et d' autre dans l'assemblée du 5 janvier 1690. "Nous châtelain avions octroyé acte et en conséquence ordonné que les parties se pourvoiraient ainsi et comme elles verraient à faire pour leur être pourvu. Depuis les choses étaient demeurées en l'état ce qui est cause que les habitants et autres possédants des fonds roturiers dudit mandement, faute que ledit parcellaire ne soit homologué, reçoivent des grands préjudices étant nécessaire d'y délibérer."

"Tous lesquels sur assemblés d'une même voix ont conclu et délibéré qu' il sera :

Au second article concernant l'homologation du parcellaire après avoir oui les opposants à l'exception du sieur avocat Ugnon, qui ont déclaré se désister de leur opposition et consentir l'homologation du parcellaire sans approbation néanmoins des confins mis en icelui pour la séparation des paroisses et d'être procédé en tout temps à nouvelle séparation par les ci-devant nommés. Les autres ont consenti et consentent qu'il soit procédé à la susdite homologation sans préjudice des griefs que les particuliers pourraient avoir reçu soit pour une plus grande contenance et sur l'estimation, de les faire réparer avant ou après ladite homologation et pour obtenir ils ont prié Mr Claude Gillet conseiller du roi en Grésivaudan et Mr François Civet procureur en la cour de se pourvoir à nos seigneurs de parlement incessamment, seront remboursé des frais qu'ils feront à ce sujet comme aussi pour faire relier le parcellaire et coursier sans prétendre aucune vacation.......
Soussigné Crozet secrétaire greffier.

Finalement la majorité des opposants mis à part le Sieur Ugnon accepta l'homologation du parcellaire en soi, mais en demandant de pouvoir le modifier chaque fois qu'une erreur aurait pu être justifiée et cela même après son approbation.

Une ordonnance du 17 décembre 1691, adoptait le nouveau parcellaire. Ce document servait à la fois à faire l'état des lieux et à déterminer pour chaque propriétaire les impositions correspondantes.

Du parcellaire, nous avons extrait :

LES NOMS DES CHEMINS

Très nombreux ces chemins allaient (tendaient dans le Parcellaire) d'un lieu à un autre en se coupant rarement du fait de la signalisation inexistantes à cette époque.
Il faut se souvenir aussi que l'habitat était dispersé et que ces chemins passaient par la trajectoire la plus directe.

Voici leurs noms et leur desserte :

- CHEMIN DE VOIRON A LEMPS PASSANT PAR LA MURETTE
- CHEMIN VOISINAL DU VENT(sud)
- CHEMIN DE L'EGLISE AU COUCHANT (ouest)
- CHEMIN DU VILLAGE A LA MONTAGNE DE BAVOSNES
- CHEMIN DE BAVOSNES AU CHEMIN VOISINAL DE BISE (nord)
- CHEMIN DE VOYRON A CHIRENS PAR LA POSTE DE BISE A LA MURETTE
- CHEMIN DE VOYRON A LA COSSE
- CHEMIN VIEUX DE LA POSTE ALLANT DE VOYRON A CHIRENS (le principal)
- CHEMIN DES ROGATIONS (actuelle route allant de la nationale au stade)
- CHEMIN ENTRE DEUX DU VENT
- CHEMIN DE LA MONBALTON A SAINT CASSIN DIT CHEMIN DU BESSEY
- CHEMIN DE LA MONBALTON DE BISE A REAUMONT OU CHEMIN VOISINAL DE BISE
- CHEMIN DE CHIRENS A TULLINS PASSANT PAR LA MURETTE
- CHEMIN DE LA MURETTE AU MARTINET DE MONPERTUS (devenu BONPERTHUIS depuis)
- CHEMIN DE LA MURETTE A TULLINS PAR SAINT CASSIN DIT CHEMIN DE CHASSAGNY
- CHEMIN DE LA COMMUNE DE VOYE A LA MURETTE
- CHEMIN DE LA MURETTE A CHIRENS DIT "LA TRAVERSE DU SOIR" PAR BASVONNE
- CHEMIN DE RIVES A TULLINS PASSANT PAR LA MURETTE
- CHEMIN DE LA MURETTE A PERIER BADIN EN PASSANT PAR LA BOLARDIERE
- CHEMIN DE MOIRANS A LA MURETTE
- CHEMIN DE LA MURETTE A BUIS
- CHEMIN DE LA MURETTE A REAUMONT

A signaler aussi de nombreux PLASSAGES et AQUERAGES. Ces passages larges formant places et des paturages.

LES NOMS DES LIEUX

Ces noms de lieux étaient avant tout des noms de maisons ou de mas que leur avaient donné leurs propriétaires ou tout simplement les noms de ces propriétaires.

- MAS DE LARINAT ou DE LA LUMINAIRE
- MAS DU PERDU
- MAS DE LA TRAVERSE, de LA PIERRE DE GIS ou LESSART GILLET à BAVONNES(BAVOSNES)
- MAS DE VIEROZ
- MAS DE LA GABOUDIERE
- MAS DE LA CROIX DE VOYE
- MAS DE LA CHAPOUNAZ
- MAS DE LA ROYAUMONDE ou de LA REAUMONDE
- MAS DE LA BOUCHARDIERE
- MAS DE SORBIER ou SORBIERE
- MAS DE CHASSAGNY
- MAS DU VERNAY ou DE LA LESCHERE ou encore DU CHAMP DU ROY
- MAS DU PRE MORET
- MAS DE L'ETANG MERMET
- MAS DU GAT
- MAS DUBARLET
- MAS DU FUMEZ
- MAS DE LA PLANTAZ
- MAS DU PARADIS
- MAS DE LA CORNA
- MAS DE LA LONGIAGNY
- MAS DE CHAMBINI
- MAS DE LA MALADIERE
- MAS LES GUICHARDS
- MAS DE LA SARRAT
- MAS DU COSSERT
- MAS DE BLANCHARD
- MAS DU GRAND CHAMP DE LA GILLAZ
- MAS DE LA CHAMBINA .. ou DE LA CHAMPONA
- MAS DU CLAPIER
- MAS DE CATTIN
- MAS D'ESEN LES 4
- MAS DE LA COURATIERE
- MAS DE LERNIA ou de LA SARRAZ
- MAS DE GRIVE
- MAS DE LA LARINIERE
- MAS DE LA REBERTIERE ou DE LA LOLAGNIERE
- MAS DE LA CHINALIERE
- MAS DE NANTIN
- MAS DE VERNEYROUD
- MAS DU GRIS